Archive pour la catégorie 'tendresse'

- Oui je sais, cela peut vous sembler bizarre.
- Et pourtant je vous le dis,
- mon cœur ne me laisse plus de répit.
- Je ne suis qu’un polichinelle,
- Qui, autour de mon cœur, s’articule.
- Je ne réfléchis plus devant cette vague gigantesque.
- Mais avec ce cœur qui en devient grotesque.
- S’il te plait, laisse-moi décider !
- Il n’y a pas le feu que je sache.
- Oui je sais, il est merveilleux.
- Mais ce n’est pas une raison.
- Pour commencer une nouvelle passion.
- Mais oui, mon corps vibre quand je le vois,
- Mais ce n’est pas une raison
- Pour sortir ton jeu de séduction ?
- Je ne suis que la marionnette,
- De ce cœur cruel qui, sans vergogne, me manipule
- Sans me demander mon avis.
- Et pourtant pour lui, Je ne saurais éprouver du mépris.
- Par ta faute, j’ai souffert énormément.
- Cesse de m’embêter, tu ne peux pas me refaire ça.
- N’avance plus les yeux rivés aux étoiles.
- Sois un peu réaliste, ne sois pas égoïste…
- Redescend sur terre,
- C’est le mieux que pour moi tu puisses faire.
- Je ne veux plus l’amour avec un grand A.
- Plus de grand frisson, plus d’attente interminable,
- Qui sans cesse me ronge.
- Je veux l’esprit tranquille, rêver d’espoir.
- Cette fois-ci je suis déterminée,
- C’est moi qui vais décider…
- Mon cœur ne me laisse plus de répit.
- Et pourtant pour lui, je ne puis éprouver aucun mépris.
- Car il n’est que lui-même, et c’est bien cela le problème.
- Je ne suis qu’un pauvre pantin,
- Que mon cœur articule,
- Mes pensées, dans ma tête, se bousculent
- Au rythme des battements de ce cœur qui me rend ridicule.
- Solédane

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Par une belle journée de printemps
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J’avais envie de me promener, faire les puces ! Pourquoi pas …
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C’est dimanche : beaucoup de monde.
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Pour les chineurs, la grande place est noire de monde…
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Petite évasion après une semaine mouvementée
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Et là à même le sol une toute petite boite attire mon attention.
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Elle s’appelle Emma
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En bois jauni avec deux petit tiroirs.
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Je vais marchander, trop amusant que de négocier des vieux objets
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Voila elle est à moi pour 1 euro, trop cool.
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Les compartiments ne s’ouvrent pas, je ne comprends pas
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Je vais la nettoyer, la faire briller et voir si je peux la réparer !!
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Apres une semaine de dur labeur, je peux enfin l’ouvrir.
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Quel ne fut pas mon étonnement de découvrir à l’intérieur un petit bouton, avec une inscription : « je suis là !! »
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Ma curiosité est plus forte que tout, et très rapidement j’appuie…
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Et… une voix très douce commence à me conter.
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Dans les épreuves de la vie, toujours tu grandis.
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Et personne ne peux t’empêcher de vivre tes sentiments, tes émotions,
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Chaque jour, ton cœur apprendra de ses battements …
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De tes peines, tes trahisons, tu gagneras la quiétude.
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Avec le temps, raison tempérante, tu seras plus fort.
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Vois-tu le deuxième tiroir ? C’est le tien…
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Depuis ta naissance, ce que tu as vécu s’y trouve,
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Quand tu t’en sentiras la force, ouvre-le
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C’est le tiroir de ton cœur, où sont ensevelis tes malheurs…
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Il est important d’y retourner, pour voir tes blessures se cicatriser.
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Ton cœur blessé le sera toujours, mais tu sauras avancer à ses cotés,
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adouci par les souvenirs…
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Ton avenir t’appartient, il y a en toi tous « les possibles »
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Alors avance, chaque jour, d’un pas vers ce but …
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Et si parfois il te paraît trop dur de continuer, regarde bien tes rêves,
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Car un jour tu y arriveras, tout simplement parce que tu auras eu le courage de croire en toi…
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Solédane.
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Ecris pour deux personnes que j’aime beaucoup…
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Emma pelle et rozy…

- Le retour de César le fugueur^^
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- Voila, je suis rentré à la maison
- J’ai fait très peur à ma maman
- Mais comprenez moi j’ai douze ans
- Et je n’avais pas vu le monde éloigné de mon parking
- Alors, je suis parti faire un petit tour plus loin … seul
- Mais oh frayeur … tant de voitures, tant de fumée
- pour mon petit nez.
- Et voilà avec tout ça, je ne retrouve mon chemin.
- Je suis perdu et la nuit commence à tomber.
- Frayeur, loin des bras de ma maman…
- pourquoi suis – je parti ?
- Une voiture s’arrête près de moi !!
- Et on m’invite a rentrer dedans,
- hop me voila en route … maman peut être ?
- Mais non, j’arrive dans une maison que je ne connais pas.
- Les gens sont très gentils avec moi,
- Que des caresses et de bonnes choses à manger
- Miam miam ! Je me régale !
- Le matin j’ai droit à la télé pendant qu’ils sont au travail,
- comme à la maison.
- Mais les jours passent et je suis triste.
- Je veux ma maman, ce n’est plus drôle, je m’ennuie.
- Ces gens charmants ont vus ma petite douille autour
- de mon cou, et ils vont appeler chez moi, ouaff ouaff,
- trop heureux, je saute, je fais des cabrioles…
- Maman est là, j’entends sa voix elle va arriver.
- Promis, j’ai reçu une bonne leçon
- Plus jamais je n’irai me balader tout seul…
- Voila ma maman, elle n’est pas fâchée
- Elle me serre dans ses bras, je suis trop content.
- Quelques bisous a ces gens charmants et vite je suis pressé.
- Ouf enfin dans la voiture,
- Je regarde cette famille séduisante qui m’a sauvé des pires
- danger.
- Merci, de vous êtes occupé de moi…
- Ils ont mon adresse et ont promis de venir me voir très bientôt.
- Signé : César
- Solédane


- Le printemps, c’est quand la neige fond et qu’elle repousse en gazon.
- Notre maison est protégée, elle a un système de larme pour les voleurs.
- Je me suis fait mal en tombant, le médecin m’a fait des points de futur.
- Pour Noël, je veux un » joliciel » pour jouer à l’ordinateur.
- Dis maman, quand on meurt, est que c’est pour la vie?
- Je ne retournerai pas à l’école parce qu’à l’école, on m’apprend des choses que je ne sais pas.
- Moi, je dors dans mon lit et mon petit frère dans le sien.
- Maman et papa dorment ensemble parce qu’ils sont de la même grandeur.
- J’adore les biscuits aux bibittes de chocolat.
- C’est où qu’on achète des sous?
- Quand maman est fatiguée, pourquoi c’est moi qui dois aller se coucher?
- Maman, comment j’étais quand je n’existais pas?
- Maman, j’ai froid! Je grignote!
- Avoir 100 ans, c’est être centenaire. Avoir 1000 ans, est-ce que c’est être millionnaire?
- J’ai fait des chaussettes aux pommes avec papa!
- Grand-maman, quand tu étais petite, est-ce qu’il y avait des dinosaures?
- Quand on ne met pas de crème, le soleil nous donne des coups.
- Si j’étais un garçon, est-ce que j’aurais été dans le ventre de papa?
- Viens manger papa, ta crème glacée va refroidir.
- Il fait chaud, touche, mon dos est tout timide.
- Quand je vais avoir un grand sac à dos, je vais aller à l’école.
- Regarde dans l’eau, il y a une grenouille sur un mini-phare.
- Cet été à la mer, j’ai couru après une miette, mais elle s’est envolée…
- Regarde le beau lever de sommeil!
- Maman, quand tu étais petite et que papa était petit, c’était qui mes parents?
- Adorables ses enfants !

- Des pensées m’enivrent…
- Mes yeux sont encore là bas
- Comment oublier cet endroit
- Dans mes mirettes je vois encore…
- Des milliers de notes dansent dans ma tête.
- Le son d’une voix, les rires à en pleurer.
- Je le sais, j’en suis sûre
- Ce voyage a réunit nos âmes,
- d’une très belle amitié.
- Le vent a balayé mon ciel, de ses nuages.
- Il a fait place à une enivrante réalité…
- Promenade dans cette belle Normandie
- Où j’avais le privilège, d’avoir le meilleur
- des guides à mes côtés.
- Le temps a passé trop vite
- Je le savais avant de partir
- Mais je ne regrette rien,
- Car je n’ai pas dis adieu
- Juste un au revoir…
- Une promesse d’un « bientôt »
- Solédane

- Merci à vous mes amis virtuels,
- D’êtres venus sur mes pages pendant mes vacances …
- Je suis rentrée il y a quelques jours.
- En forme et plein d’énergie pour vous tous,
- J’écris pour le moment et je compose
- Demain j’irais faire un tour sur vos blogs
- Bisous à tous