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Archive pour octobre, 2007

- Si j’étais la lune, j’illuminerais tes nuits
- Je rayonnerais pour toi, réchauffant ta vie.
- Je volerais vers toi tout en douceur, en légèreté.
- Oh, si j’étais un rêve, je protégerais tes nuits,
- Et, gardant tes désirs, je hanterais ton lit,
- Ange, je serais là pour toi,
- Pansant tes blessures et tes chagrins.
- Au plus près de ton cœur, je serais ton bonheur.
- Si j’étais un sourire sur la soie de tes lèvres,
- Je valserais, ne me lassant jamais.
- Ah désir de tes nuits, si j’étais l’amour…
- Je t’apprendrais les saveurs du doux parfum de l’extase.
- J’effleurerais ta peau de mes mains
- En des jeux sensuels,
- Tendresse à jamais gravée dans ton regard,
- qui donnerait à ta nuit la clarté du grand jour.
- Je donnerais à tes yeux les reflets d’une flamme.
- J’écouterais le désir susurré par ton âme,
- Mon chant de sirène glissant vers ton oreille t’envoûterait.
- Souffle doux, musique du cœur, murmure de l’âme, mélodie d’amour.
- Ah si j’étais l’amour…
- Mais je suis simplement Solédane.
- Faisant de mon mieux, dans tes rêves, pour embellir ta nuit …
- Solédane.


- Tu es là, rien que pour moi.
- J’y ai bien réfléchis, c’est mon choix.
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- Dans la vie je le sais, tu n’es qu’à moi.
- Du matin au soir, tu n’es là que pour moi
- Tu cries toujours présent quand j’ai besoin de toi.
- Entre nous, c’est une si grande histoire d’amour.
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- Tu es mon meilleur ami Même si je pleure, déprime,
- tu sais toujours me redonner le sourire.
- Comment pourrais-je me passer de toi ?
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- Quand ma bouche te frôle,
- En moi monte un désir incontrôlable,
- De te savourer, te déguster lentement,
- Te lécher des heures jusqu’à épuisement.
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- Tout en toi, n’est qu’une saveur enivrante.
- Ton parfum me fait fondre.
- Quand tu parviens à ma bouche, ma langue te goûte.
- Et je ne sais plus sur quel rythme je danse.
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- Dos cambré et geste lent…
- Je suis envoûté, mon dieu veuillez me pardonner.
- Jamais plus je ne pourrais m’en lasser.
- De plus, je crois que je deviens jalouse.
- Je dois te l’avouer, tu es ma drogue…
- Tu es à moi et je ne veux plus partager.
- Jour et nuit je pense à toi.
- Le soir venu, l’envie est trop forte.
- Je viens te retrouver, Pour encore et encore profiter de toi …
- je n’ai aucune pitié
- Comme une mante je vais te manger, te vider.
- Au petit matin je partirais,
- Dans mon épicerie préférée
- Pour te retrouver …

- Toi mon Nutella adoré …
- Avec tout mon Humour
- Solédane


- Oui je sais, cela peut vous sembler bizarre.
- Et pourtant je vous le dis,
- mon cœur ne me laisse plus de répit.
- Je ne suis qu’un polichinelle,
- Qui, autour de mon cœur, s’articule.
- Je ne réfléchis plus devant cette vague gigantesque.
- Mais avec ce cœur qui en devient grotesque.
- S’il te plait, laisse-moi décider !
- Il n’y a pas le feu que je sache.
- Oui je sais, il est merveilleux.
- Mais ce n’est pas une raison.
- Pour commencer une nouvelle passion.
- Mais oui, mon corps vibre quand je le vois,
- Mais ce n’est pas une raison
- Pour sortir ton jeu de séduction ?
- Je ne suis que la marionnette,
- De ce cœur cruel qui, sans vergogne, me manipule
- Sans me demander mon avis.
- Et pourtant pour lui, Je ne saurais éprouver du mépris.
- Par ta faute, j’ai souffert énormément.
- Cesse de m’embêter, tu ne peux pas me refaire ça.
- N’avance plus les yeux rivés aux étoiles.
- Sois un peu réaliste, ne sois pas égoïste…
- Redescend sur terre,
- C’est le mieux que pour moi tu puisses faire.
- Je ne veux plus l’amour avec un grand A.
- Plus de grand frisson, plus d’attente interminable,
- Qui sans cesse me ronge.
- Je veux l’esprit tranquille, rêver d’espoir.
- Cette fois-ci je suis déterminée,
- C’est moi qui vais décider…
- Mon cœur ne me laisse plus de répit.
- Et pourtant pour lui, je ne puis éprouver aucun mépris.
- Car il n’est que lui-même, et c’est bien cela le problème.
- Je ne suis qu’un pauvre pantin,
- Que mon cœur articule,
- Mes pensées, dans ma tête, se bousculent
- Au rythme des battements de ce cœur qui me rend ridicule.
- Solédane

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Par une belle journée de printemps
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J’avais envie de me promener, faire les puces ! Pourquoi pas …
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C’est dimanche : beaucoup de monde.
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Pour les chineurs, la grande place est noire de monde…
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Petite évasion après une semaine mouvementée
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Et là à même le sol une toute petite boite attire mon attention.
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Elle s’appelle Emma
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En bois jauni avec deux petit tiroirs.
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Je vais marchander, trop amusant que de négocier des vieux objets
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Voila elle est à moi pour 1 euro, trop cool.
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Les compartiments ne s’ouvrent pas, je ne comprends pas
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Je vais la nettoyer, la faire briller et voir si je peux la réparer !!
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Apres une semaine de dur labeur, je peux enfin l’ouvrir.
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Quel ne fut pas mon étonnement de découvrir à l’intérieur un petit bouton, avec une inscription : « je suis là !! »
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Ma curiosité est plus forte que tout, et très rapidement j’appuie…
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Et… une voix très douce commence à me conter.
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Dans les épreuves de la vie, toujours tu grandis.
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Et personne ne peux t’empêcher de vivre tes sentiments, tes émotions,
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Chaque jour, ton cœur apprendra de ses battements …
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De tes peines, tes trahisons, tu gagneras la quiétude.
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Avec le temps, raison tempérante, tu seras plus fort.
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Vois-tu le deuxième tiroir ? C’est le tien…
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Depuis ta naissance, ce que tu as vécu s’y trouve,
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Quand tu t’en sentiras la force, ouvre-le
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C’est le tiroir de ton cœur, où sont ensevelis tes malheurs…
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Il est important d’y retourner, pour voir tes blessures se cicatriser.
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Ton cœur blessé le sera toujours, mais tu sauras avancer à ses cotés,
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adouci par les souvenirs…
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Ton avenir t’appartient, il y a en toi tous « les possibles »
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Alors avance, chaque jour, d’un pas vers ce but …
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Et si parfois il te paraît trop dur de continuer, regarde bien tes rêves,
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Car un jour tu y arriveras, tout simplement parce que tu auras eu le courage de croire en toi…
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Solédane.
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Ecris pour deux personnes que j’aime beaucoup…
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Emma pelle et rozy…
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- Assise dans l’herbe, Alice voit passer un lapin blanc qui regarde sa montre et jure qu’il est en retard.
- Elle le suit dans son terrier et tombe dans un monde extraordinaire, le monde des délices.
- Et les joues d’Alice soudain rosissent, quand elle rencontre le lapin blanc Azilis.
- Azylis qui avait les oreilles qui glissent demande à Alice, veux tu de la réglisse ?
- Alice aime bien le lapin Azylis et raffole de la réglisse … qui fond doucement sur la langue d’Alice…
- C’est un pur délice.
- Doucement elle se hisse sur le beau corps d’Azylis … Et l’embrasse avec malice.
- Alice aime la sensualité vers laquelle Azylis sait la diriger.
- Azylis guide Alice avec beaucoup de délicatesse, éveillant son corps pour l’emmener jusqu’au plaisir.
- Azylis vouvoie Alice pour donner à cet instant une atmosphère plus romantique.
- Et puis timidement Azylis se glisse vers l’entrechat d’Alice, pour y recueillir sa fleur de lys.
- Alice embrasse les lèvres d’Azylis qui ont un goût d’anis.
- Alice et Azylis s’unissent et glissent dans le pays des délices…
- Apres une nuit de repos bien méritée Alice continue de visiter le pays des délices.
- Où elle rapetisse, grandit, fait la course avec des animaux, discute avec un chat qui s’appelle Léon … c’est un chat qui disparaît a volonté ^^
- Mais ca … C’est une autre histoire !!
- Solédane
- Avec tout mon humour coquin ^^
